LA MOUCHE

60,00

Alfred de MUSSET

Adolphe LALAUZE

Éditions FERROUD

30 compositions d'Adolphe LALAUZE sous serpentes dont la couverture, un portrait-frontispice, une vignette de titre sept hors-texte, huit in-texte, six en-tête et six culs-de-lampe

Edtions FERROUD, 1892

Exemplaire n°214 sur vélin d'Arches

In-8° broché – 84 pages
Dimensions : 160 x 240

Intérieur impeccable

La Mouche est un conte historico-libertin d’Alfred de Musset, la dernière œuvre publiée de son vivant, dans le feuilleton du journal Le Moniteur en 1853.

Mais de quelle mouche parle Alfred de Musset ? Il s’agit de celle que seul Louis XV avait pu voir avant ce « petit » incident de peignoir qui permit au Chevalier de Vauvert de l’apercevoir… oui, il s’agit de la mouche sur l’épaule de Mme de Pompadour,  une des nombreuses maîtresses officielles de Louis XV, surnommé le « Bien-Aimé ». Il raconte, avec toute la légèreté amère propre aux comédies et certaines poésies de son auteur, la rencontre entre un jeune chevalier de vingt ans et le Marquise de Pompadour, à Trianon. Tout commence par une lettre d’amour que la marquise lit au roi, adressée à la nièce d’une de ses amie par le fameux jeune homme. Celui-ci gagne Versailles et cherche à voir la Marquise dont il veut obtenir l’appui pour son brevet et son mariage. Il y parvient en se voyant confier, par un page, un message du roi pour cette dame. L’intrigue politique s’invite ensuite dans ce badinage, mais le jeune homme a de l’honneur et ne trahit pas celle qui l’a protégé. Alors l’honneur engendre le bonheur.

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