La pecheresse

LA PÉCHERESSE

Henri de RÉGNIER

Qualifiée d’histoire d’amour, cette oeuvre d’Henri de Regnier est dédiée à Gilbert de Voisins, poète et romancier en témoignage de fraternelle amitié.
Elle placée par son auteur sous les auspices du moraliste et critique libertin Saint-Evremond dont une citation figure en exergue du livre : “Il y a des temps où l’on pleure les plaisirs perdus, des temps où l’on pleure les péchés commis.” Vaste programme.
Et l’auteur d’incipiter comme suit : “J’ai toujours été si curieux des particularités que l’on découvre au caractère des femmes que, pas une fois, je n’ai négligé de m’instruire sur le sujet.” Le lecteur averti aura remarqué le “n’ai né”.

55,00

Illustrations de DANIEL-GIRARD

Editions CYRAL, 1930
26ème livre de la "COLLECTION FRANÇAISE"
Exemplaire n°575 sur vélin de Rives

In-8° - 344 pages
Dimensions : 155 x 205

Reliure demi-maroquin bordeaux
Dos à 4 nerfs
Couverture et dos conservés
Tête dorée

Remarques : Dos insolé, épidermures, coins frottés, pâles et rares piqûres.

Le bibliophile recherche un livre pour le texte, pour l’illustration, pour la typographie et la qualité du papier. Les plus beaux livres sont le résultat d’une alchimie trouvée entre l’auteur, l’artiste et l’éditeur.

Henri de RÉGNIER

Henri de RÉGNIER

Henri de Régnier, né à Honfleur le 28 décembre 1864 et mort à Paris le 23 mai 1936, est un écrivain et poète proche du symbolisme. Issu d’une famille aristocratique de Normandie, Henri de Régnier, fit son droit dans la perspective d’entrer dans la diplomatie. Mais,...

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DANIEL-GIRARD

DANIEL-GIRARD

Daniel-Girard (1890 – 1970) est né et mort à Paris. Fils de Max Girard (1860 – 1944), président de la compagnie des avocats agréés au Tribunal de commerce et de son épouse Marthe Berteil (1866-1952), fille du paysan du Lot Antoine Berteil, fondateur de la manufacture...

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Editions Henri CYRAL

Editions Henri CYRAL

Henri Cyral commence par publier des articles dans la revue Le Monde colonial . De 1902 à 1912, il dirige la revue « La Vie coloniale », dans laquelle il publie des " romans coloniaux ", en feuilletons. Aucun de ces romans n’a donné lieu à publication en librairie,...

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LA PRESSE EN PARLE

Je n’ai pas trouvé de critiques négatives de ce roman dans la presse de 1920 au moment de sa première publication. Tous les articles sont élogieux notamment celui d’Emile Henriot dans Le Crapouillot. Pas de reproches ? Ce serait sans compter sur un puriste qui regrette des « inadvertances » de langage : « on ne dit pas pour de bon mais tout de bonse départissait mais il se départait… ».