LES CINQ SOUS DE LAVARÈDE

VENDU

Paul d’IVOI 

Henri CHABRILLAT

Lucien MÉTIVET

COMBET & CIE

107 gravures dont 20 hors-texte gravés sur bois de Lucien MÉTIVET

Ancienne Librairie Furne - Combet & Cie, sd
"LES VOYAGES EXCENTRIQUES"
Cartonnage polychrome  signé ENGEL et FAU
In-4° - 448p - 230 x 305
Intérieur propre et sans rousseur
Bord des pages ombré
Toutes tranches dorées
Bel exemplaire

REMARQUE : Léger gondolement de la toile en bas du 1er plat (photo). Manque la carte

Le roman fut le premier à faire largement connaître Paul d’Ivoi. Il est aussi le premier roman d’une série d’aventures intitulée Voyages excentriques, dans la lignée des Voyages extraordinaires de Jules Verne qui paraissent à la même période.

Pour obtenir une fortune léguée par héritage, Lavarède doit réussir à faire le tour du monde avec seulement cinq sous (soit vingt-cinq centimes) en poche, en un an, jour pour jour !  Sir Murlyton, proche voisin du défunt cousin, est désigné pour le surveiller et l’accompagner dans son périple pour que la condition prescrite soit bien respectée. Son intérêt étant qu’il se verra désigné comme légataire universel au lieu et place de Lavarède si celui-ci échoue.

La première adaptation en cinéma parlant est réalisée par Maurice Cammage en 1938 avec Fernandel.

Lucien Marie François Métivet né le 19 janvier 1863 à Paris et mort le 16 juillet 1932 à Versailles est un peintre, affichiste, illustrateur et homme de lettres.

Fils d’un conducteur de travaux et d’une artiste peintre, professeur de dessin dans les écoles municipales de la Ville de Paris, Lucien Métivet après des études au lycée Charlemagne et des cours à l’Académie Julian, entre en 1882 à l’École des beaux-arts de Paris où il devient l’élève de Fernand Cormon. Il y croise Henri de Toulouse-Lautrec et Louis Anquetin. L’année suivante, il accomplit un service militaire d’une durée d’un an à Rouen au 39e régiment d’infanterie.

Métivet effectue ses premiers envois au Salon de la Société des artistes français dès 1889, puis au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Il a été vice-président du Salon des humoristes.

Il a travaillé pour divers journaux dont Le Rire, Le Monde moderne, L’Assiette au beurre, Le Monde illustré, Excelsior ou le Journal amusant.En 1900, il représente la section humoristique durant l’Exposition universelle à Paris, puis est exposé dans la section française durant l’Exposition universelle de Turin de 1911.

Commentaires

    Soyez le premier à laisser votre avis sur “LES CINQ SOUS DE LAVARÈDE”

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *