Eaux-fortes de Jean Emile Laboureur
Au cabinet du livre, 1928
In-8° – 155 pages
Dimensions : 170 x 255
Tirage à 440 exemplaires
Exemplaire n°304 sur Hollande
Broché
En partie non coupé
Très bel exemplaire
Alors que, sous l’impulsion du procès de Théophile de Viau, le courant libertin subit une vague de répression, un petit roman licencieux est imprimé dans l’anonymat et la clandestinité. Il y est question des persécutions qu’un poète satyrique subit de la part des autorités religieuses et politiques de son pays. Les Aventures satyriques de Florinde est un des premiers romans à la première personne dans l’histoire de la littérature française, mais aussi un des textes les plus audacieux du XVIIe siècle.
Jean-Emile Laboureur (1877-1943)
Peintre et graveur né à Nantes, il débute avec des bois gravés se référant à Gauguin. D’abord influencé par le cubisme, Laboureur développe par la suite un style très personnel soucieux de l’élégance et de la finesse du trait. Eaux-fortes, pointes sèches et aquarelles illustrent de nombreux ouvrages. Exposant au Salon d’Automne et au Salon des Indépendants où il débute, il fonde le groupe des Peintres-graveurs indépendants.
Auteur de nombreuses gravures au burin, en planches individuelles ou pour des livres, il a illustré près de quatre-vingts livres, souvent d’auteurs contemporains comme André Maurois, Jean Giraudoux, Colette, André Gide, Paul-Jean Toulet, Maurice Maeterlinck ou François Mauriac.
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