PIERRE DE RONSARD

160,00

Roland ENGERAND

Ferdinand DUBREUIL

10 gravures originales sur bois signées par Ferdinand DUBREUIL
Dessins in-texte

In-4° – non paginé
Dimensions : 260 x 330

Tirage à 350 exemplaires
Un des 25 exemplaires de tête (n°D), nominatif (Dr Jean Durin)

En feuilles sous couverture rempliée, chemise et étui
Intérieur en très bon état
Autographes de l’auteur en fac-similé (un par chapitre)
Courrier dactylographié de l’artiste au Dr Jean Durin
Justification du tirage sur dessin aquarellé comprenant un envoi de l’artiste

Au cours de sa vie, Ferdinand Dubreuil s’est essayé à toutes les sortes de peinture : le fusain, la gouache, les marines… Mais ce sont les gravures sur bois qui ont fait sa renommée. En 1936, le docteur Piquand, son ami, lui demande d’illustrer son ouvrage « Légendes bourbonnaises ». Ses gravures figurent aussi sur d’autres ouvrages qui font encore référence aujourd’hui : Bourbonnais douce provinceLe vieux MontluçonCommentry et ses alentoursJ’ai vu mourir sainte-Barbe au pays des mineurs dont il a également produit les textes.

« Ses parents étaient mineurs. Il était très admiratif de ces hommes et de ces femmes », précise l’historien local Georges Michard. Son séjour en Touraine, où il passera l’essentiel de sa vie professionnelle en tant que dessinateur pour les chemins de fer, le conduit à réaliser une collection d’albums des villes du val de Loire : Amboise, Chinon, Loches, Toursæ Au final, il a participé à l’illustration d’une quarantaine de livres et d’albums.

Ses qualités de dessinateur ont été vraiment remarquées à la guerre. « C’est sous l’uniforme qu’il a commencé à produire des choses artistiques. Il profitait de son temps libre pour peindre ses camarades mais aussi des officiers. Ces derniers ont commencé à parler de lui dans les milieux parisiens. C’est comme ça qu’il été recommandé à certains auteurs qui avaient besoin d’illustrations pour leurs ouvrages », dit Georges Michard. Ses dessins et croquis de la guerre serviront à illustrer A l’ouest rien de nouveau de Maria-Erick Remarque et Le soldat de Verdun de Jacques Péricard.

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