Henry Marie Joseph Frédéric Expedite Millon de Montherlant est un romancier, essayiste, auteur dramatique et académicien français.Henry de Montherlant est d’une famille, du côté paternel, originaire de la Catalogne. Il fait ses études au lycée Janson de Sailly et à...
LA PETITE INFANTE DE CASTILLE
Henry de MONTHERLANT
Aux alentours de la trentième année, Montherlant connaît une crise qu’il a appelée la crise des «voyageurs traqués», qui le conduit à quitter la France, pour fuir vers les pays de soleil – Espagne, Italie, Tunisie, Algérie, Maroc – dans l’intention d’y réaliser la «féerie». Les ouvrages qui jalonnent cette période ont tous le caractère d’une confession, à la fois passionnée et ironique, tragique et pleine d’humour.
Dans La petite infante de Castille, le «voyageur traqué» s’éprend d’une danseuse espagnole. Mais quand arrive le moment où il n’a plus «qu’un geste à faire», il s’éclipse. «Tout ce qui est atteint est détruit» est sa devise du moment – vite reniée. C’est sur une suite de portraits de danseuses espagnoles que s’achèvent des réflexions dont la pertinence, jointe à la perfection désinvolte de l’écriture, donne une qualité de rigueur tonique à ce 2e volet du triptyque : Les voyageurs traqués.
270,00€
Lithographies originales de Mariano ANDREU
Editions Henri LEFEBVRE, 1947
Tirage à 500 exemplaires sur vélin de Rives (seul papier)
Exemplaire n°406
In-4° - 184 pages
Dimensions : 260 X 330
Reliure demi maroquin noir à bandes signée Suzanne ROBLIN
Dos à 4 nerfs
Tête dorée
Excellent état intérieur
Le bibliophile recherche un livre pour le texte, pour l’illustration, pour la typographie et la qualité du papier. Les plus beaux livres sont le résultat d’une alchimie trouvée entre l’auteur, l’artiste et l’éditeur.
Mariano ANDREU
Né à Barcelone en 1888, Mariano Andreù est un peintre, graveur, illustrateur, scénographe et virtuose de l’art de l’émail. Il étudie à Londres à la “Central Arts & Craft School”. Après son retour à Barcelone il quitte de nouveau l’Espagne pour s’installer cette...
LA PRESSE EN PARLE
Unanimité des critiques de presse pour ce livre qui charme et irrite. Il charme par sa gaieté, son rythme et son audace mais l’écrivain agace en raison de son « égotisme ».