LES DÉSENCHANTÉES

Pierre LOTI

Trois jeunes femmes cultivées, qui vivent enfermées dans un harem à Constantinople, correspondent avec un célèbre romancier français ; l’une d’elles, Djénane, en est amoureuse. Au prix de mille dangers, le héros les rencontre, et leur promet d’écrire un livre sur leur terrible condition.

A l’origine du roman de Loti, une supercherie imaginée par Hortense Marie Héliard dite Marie Léra,  journaliste et féministe française.

180,00

24 illustrations en couleurs de A. CALBET
8 hors-texte sous serpentes
10 hors-texte simples et 6 en-tête

Editions Calmann-Lévy, 1937

In-8° - 312 pages
Dimensions : 190 x 230

Exemplaire sur vélin à la forme

Plein maroquin pourpre
Dos à 3 nerfs dont un fort à motif mosaïqué reprenant l'illustration du dos de la couverture
Tête dorée
Intérieur à l'état de neuf
Superbe exemplaire rare dans cette condition

Le bibliophile recherche un livre pour le texte, pour l’illustration, pour la typographie et la qualité du papier. Les plus beaux livres sont le résultat d’une alchimie trouvée entre l’auteur, l’artiste et l’éditeur.

Pierre LOTI

Pierre LOTI

Pierre Loti de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud est un écrivain français qui a mené parallèlement une carrière d’officier de marine.Il entre en 1867 à l’École navale de Brest. En 1870, année du décès de son père, il prend la mer comme aspirant de première classe...

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Antoine CALBET

Antoine CALBET

Antoine Calbet né le 16 août 1860 à Engayrac (Lot-et-Garonne) et mort le 21 août 1942 à Paris est un peintre, aquarelliste, dessinateur, graveur et illustrateur français.  Formé à l’école des beaux-arts de Montpellier par Édouard-Antoine Marsal où il apprend le...

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Editions CALMANN-LÉVY

Editions CALMANN-LÉVY

À l’origine, un petit cabinet de lecture spécialisé en pièces de théâtre. Simon Lévy, arrivé depuis peu de Lorraine où il était colporteur, le dirige avec son plus jeune fils, Michel. Très vite, celui-ci s’impose comme un éditeur exceptionnel. Il n’a pas vingt ans lorsqu’il...

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LA PRESSE EN PARLE

L’accueil de ce roman, par le public et par la presse fût très favorable à sa parution en juillet 1906. Les critiques saluant la description enchanteresse de l’orient et de Stamboul. Parmi les avis négatifs citons le « Mercure » qui s’emploie à dénoncer, plutôt que le fond, le côté narcissique de l’auteur. Loti était une personnalité clivante en raison de ses positions turcophiles et pro-islam et certains journaux préféraient juger l’écrivain plutôt que l’oeuvre.